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Nicolas Alaimo et ses airs d'opéra




Adrien Rebaudo

"Ecumes distantes"


Adrien Rebaudo est auteur et photographe. En temps normal, il enseigne la photographie, notamment au sein de la Médiathèque de Monaco. Il vous écrit :

"Salut les confiné·e·s,
Je vous propose aujourd’hui une petite promenade au bord de mer, comme à l’époque. Cachez cette nostalgie que je ne saurais voir, rangez vos attestations, cette balade-là se fait de chez vous et ne pourrait même pas se faire en temps normal. Car c’est là l’un des avantages indéniables de la photographie, au delà de montrer le réel, pouvoir le transformer. C’est ce que j’ai voulu montrer dans ma série “écumes”.
Photographier l’écume jusqu’à la faire disparaître, ce n’est pas si compliqué. Un trépied, une pose lente et le tour est joué. Mais cela ne me suffisait pas, je voulais également capturer des longueurs d’ondes invisibles à l’œil nu, et elles sont nombreuses. Montrer ce qui existe, mais qu’on ne voit pas. Le résultat est le fruit de plusieurs semaines d’essais, de tentatives, et d'échecs. Puis, un jour, la bonne combinaison est arrivée, le mélange entre quelques filtres bien sentis, combiné à une heure favorable, et la série était née.
Alors, laissez de côté l’amer de la situation et jetez un œil sur la mer comme vous ne la verrez jamais.
Bonne balade !"

Lectures de poèmes

Remo Girone, Filippo di Sambuy, Victoria Zinny nous lisent des poèmes

Victoria Zinny est une comédienne italo-argentine, née à Buenos Aires.

Elle a tourné dans de nombreux films, certains dirigés par Luis Buñuel, comme "Viridiana".
Sa mère était la poétesse argentine Julia Prilutsky Farny, dont elle lit des poèmes tirés de "L’Antologia del Amor".

Cet acteur, connu pour son rôle dans la série télévisée italienne "La Pieuvre", s'est passionné également très tôt pour le théâtre.
Il a joué pour de très nombreux réalisateurs, comme Bellochio, Ettore Scola, Jacques Rivette. Zanussi.
Il enchaîne les tournages aux Etats-Unis dans les films de Ben Affleck, notamment le fameux "Le Mans 66", dans lequel il interprète Enzo Ferrari .En cette période de confinement, il souhaite partager avec nous des poèmes ou sonnets qu'il affectionne.



Filippo di Sambuy est né à Rome.

Ses œuvres sont exposées dans des galeries et des musées en Italie, à Monaco et ailleurs depuis 1980.

                                                                                                         

Artistes plasticiens

JP Racca Vammerisse, Gérard Haton-Gauthier, Bernard Alligand, Céline Marin, Antoine Loudot ...

"Le temps du confinement est la mesure de l'instant"

Bernard Alligand est un artiste de la matière, de la lumière et du mouvement.

Ses nombreux voyages, notamment en résidences d’artistes (Egypte, Maroc, Islande, E.A.U, Oman, Asie…) sont des sources d’inspiration, qu’il décline sur différents supports : peinture, gravure, céramique, bois..., et livres d'artiste. Pluridisciplinaire, son œuvre picturale est empreinte de toutes sortes de matériaux : minéraux, végétaux, manufacturés, bruts, recyclés… qu’il traduit en des compositions cosmiques, allégoriques.
Il illustre depuis plus de 20 ans des livres d’artistes sur des textes inédits de Michel Butor, Salah Stétié, Robert Marteau, Régine Detambel, Jean-Pierre Geay, Kenneth White, Bernard Noël. La Médiathèque en possède un certain nombre. 
Bernard Alligand nous dit : 

"Ce temps du confinement ne s’éloigne pas de la vie d’un artiste, seul face à la toile. S’isoler pour mieux créer, se recentrer. Trouver des sources d’inspiration, de nouvelles matières, se renouveler sans cesse, puiser dans des lieux inconnus. Cette situation inédite de confinement général crée un sentiment partagé de solitude qui est source de création. Les uns allant vers la lecture, l’écriture, la cuisine, la couture… chacun s’ouvre à ses talents. De nombreuses personnes inventent et vont jusqu’à même créer de nouveaux partages dans le confinement. Beaucoup veulent penser à l’après alors que l’instant est à apprécier comme un moment unique. L’atelier recèle toujours des matières en attente, ici, l’ardoise, le sable retrouvent la lumière et deviennent des espaces de poésie telles « les pentes noires des reliefs qui coulaient du ciel lissées par des millions d’années » (Sylvain Tesson). Le temps du confinement est la mesure de l’instant".

22 ème  journée. « Je rassemble mes silences, regarde là-bas… peut être demain. »



Gérard Haton-Gauthier est un artiste plasticien.

Son passage à l'école des beaux-arts de Dijon le pousse vers une démarche personnelle. Il ne s'inscrit dans aucune tendance et ses réalisations sont des suites poétiques du moment. Pluridisciplinaire, ses œuvres sont graphiques et sculpturales.
A majorité figuratif, effleurant l'abstraction, chaque tableau est un fragment d'histoire vécue ou ressentie.

Au fil des années, le noir s’impose dans ses différentes représentations, encre de Chine, fusain et pierre noire sur toile ou papiers marouflés. La lecture proposée n’en est que plus directe.

Aborder le sujet jusqu’au plus profond de l’âme est l’élément essentiel de son travail.  Sans artifice, l’œuvre s’affirme d’elle-même dans sa poésie et son message.

« Et dans cette songerie sans calme ni grandeur, dans cette flânerie sans but ni espoir, mes pas usaient cette matinée de liberté, et mes phrases prononcées tout haut à voix basse résonnaient, en se multipliant, dans ce simple cloître de mon isolement." Le Livre de l'intranquillité (1982) de Fernando Pessoa



JP Racca Vammerisse est un artiste plasticien utilisant la céramique avec passion, qu’il associe souvent à d’autres matières, textiles, plastiques, verre ou carton, dans un art consommé de la mise en scène et de la théâtralité.

Même s’il façonne, avec une extraordinaire technicité, des œuvres le plus souvent de petites dimensions, la manière qu’a JPRV de les contextualiser les transforme spectaculairement en installations grand format.
Ses influences mêlent culture savante et populaire, l’inspiration tire sa source dans le "Gothic Fantasy" ou chez "Tex Avery", réinterprète avec délectation des éléments architecturaux du Haut Baroque ou de ce XIXème siècle grand remixeur des styles du passé. Son art est un mélange d’élégance sophistiquée et d’excès, n’a peur ni de la surcharge expressive ni de la couleur outrancière.

JPRV a de l’appétit pour le grotesque et de la sophistication dans la laideur, dans une veine figurative dénuée de naturalisme, décadente au point d’aller flirter avec le fantastique. (Frédéric Bodet, 2019)

"Le monde va t’il renaître cette fois encore ?", crayon sur papier, A4, série en cours, 2020



Née en 1986, Céline Marin est une artiste diplômée de la Villa Arson et de l’École Supérieure d’Arts Plastiques d’Aix-en-Provence.

Elle réalise son post-diplôme (MPA ALUMNI) au Pavillon Bosio à Monaco en 2012. Les dessins de Céline Marin trahissent son goût avéré pour le surréalisme joyeux.
Réduisant son champ des possibles à deux ou trois éléments maximum, elle compose des dessins précis et emplis d'humour dans lesquels les rencontres impossibles se succèdent et semblent créer une famille.
Elle collecte des images dans des magazines, des cartes postales, des articles scientifiques... puis elle tente des greffes contre nature.

Céline Marin joue de l'insolite pour donner à voir un ensemble non fini de tribus bizarres.

"The End", skateboards, peinture



Antoine Loudot, né en 1987, étudie au Pavillon Bosio à Monaco et obtient son DNSEP avec les félicitations du jury. À l’issue de son post-diplôme au sein même de l’école (MPA ALUMNI), il réalise la pièce « 24 » dans le cadre du 1% du Conseil National de Monaco. Depuis, Antoine multiplie projets et expositions. Une de ses pièces sera présentée à l’exposition universelle de Dubaï.

Par la peinture de paysages, l’inscription de maximes ou encore la construction d’outils et de machines, Antoine explore l’étendue des possibles.

« Essayer encore, rater encore, rater mieux » S. Beckett

Cette phrase, vérifiée à maintes reprises au cours de sa pratique du skate, de la voile ou encore en montagne, incarne assez justement la conception de sa pratique qui se déploie comme un parcours se construisant dans le temps, où le travail de longue haleine l’emporte sur l’exploit ponctuel.

Chantal Thomas

Auteure de Souvenirs de la marée basse, L’Échange des princesses, Comment supporter sa liberté, Chantal Thomas vient souvent à la rencontre des lecteurs de la Médiathèque de Monaco. Aujourd’hui, elle prête sa plume à Télérama, en participant au journal à plusieurs mains, où des écrivains nous offrent chaque jour la chronique de leur confinement. Dans son article, elle rêve d’une Corona en Arizona, et se souvient de la Chine.

"Chronique d'une confinée. Le pouvoir des chiffres en leur abstraction est renforcé par l’invisibilité des corps malades". Par Chantal Thomas. Publié le 03/04/2020

Tuscon, Arizona.
A corona, please… Corona, c’était ma bière d’élection quand j’habitais en Arizona. J’étais arrivée à Tucson pour le semestre de printemps. Les cactus étaient en fleur. Je relisais "Mythologies", de Barthes (j’avais été recrutée par l’université pour faire un cours sur Roland Barthes) et je me sentais décalée et légère en parcourant en voiture les routes du désert, sans but précis, comme dans un roman de Raymond Chandler. À la tombée du jour, je rejoignais des amis dans un bistrot du quartier mexicain ou dans le jardin de l’Arizona Inn, je demandais une Corona bien fraîche agrémentée de sa fine tranche de citron vert et nous regardions ensemble le ciel changer de couleur…
J’ai plaisir ce matin, à Paris, dans une lumière qui pourrait être d’Arizona, à me rappeler ce séjour dans le désert américain, et je pourrais continuer à déployer le charme de Tucson et même prendre une route conduisant au Mexique (Una Corona, por favor) mais, sous la pression de l’actualité, je dévie du récit de voyage (avec quelque regret… chacun, bien sûr, peut le poursuivre à sa guise…) et je rejoins les milliards d’individus dans le monde pour qui, depuis début 2020, année du Rat, « corona » s’associe automatiquement à virus. « Coronavirus », le mot tout en faisant très tôt la une des médias a gardé aussi longtemps que possible – et selon diverses stratégies politiques et intimes du déni – une aura d’exotisme.
Au début, lorsque l’épidémie est apparue dans la ville de Wuhan, l’événement, avec ses incertitudes, ses questionnements, son aggravation jusqu’à la décision de Xi Jinping de placer les 11 millions d’habitants de la ville en confinement strict m’a fascinée. J’en regardais les images, j’en suivais les commentaires, comme s’il s’était agi d’un film de science-fiction. Les dépistages par la prise de température, les drones surveillant la population, les sonneries se déclenchant si on sortait de son appartement, les comités de quartier, le vide absolu des avenues, des marchés, des quais de métro, des aéroports. Les masques sur les visages, les combinaisons d’extraterrestres des soignants, les interviews dans une langue que je ne comprenais pas et que le doublage annulait, tout concourait à accroître le sentiment d’un phénomène étranger, né d’un petit marché de quartier où se vendaient des serpents, des pangolins et des chauves-souris. Un mal étrange qui se passait au loin, dans un univers fantasmagorique.
Mais quand j’écris « au début », je parle de celui officialisé en janvier par des mesures gouvernementales et non de la date des premières alertes lancées dès le mois de décembre par un jeune ophtalmologue, médecin dans un hôpital de Wuhan, Li Wenliang. Accusé de vouloir « perturber » l’ordre public, il admet à l’issue d’un long interrogatoire policier s’être trompé et signe : « J’ai compris. » Il décédera le 7 février, dans un hôpital de sa ville, du virus qu’il avait décelé.
Ce film "La Chine est loin",d’abord à mes yeux un film fantastique, s’est métamorphosé au fil des semaines en un film réaliste, tourné clandestinement, avec peu de moyens. Un film en noir et blanc dont une des images les plus déchirantes est celle de l’inscription«Adieu Li Wenliang »,tracée sur la neige le jour de sa mort.
Pour nous séparer de l’épidémie de Covid-19, la géographie ni les frontières ne servent plus à rien. Reste, pour nous maintenir à bonne distance, l’assurance des chiffres. L’emphase sur les comptages : un langage sportif (« passer la barre », « atteindre le pic », « battre un record ») qui pourrait nous faire croire à une triomphale avancée, si l’on ne se rappelait que la victoire si obsessivement dénombrée par pays, villes, classes d’âge est celle de la Mort.
Le pouvoir des chiffres en leur abstraction est renforcé par l’invisibilité des corps malades, de leurs mains, de leur visage, de leurs regards d’espoir ou de désespoir (puisqu’avec la difficulté à respirer vient aussi l’impossibilité de parler) enfouis sous la lourdeur et la complexité du matériel de soin ou de survie. Ainsi, le « spectacle » de la pandémie de Covid-19 à l’œuvre est exactement le contraire de cette folie des corps, de cette mise à nu flamboyante et terrifiante, de cette fureur des humeurs et des désirs décrite, hallucinée, par Artaud dans « Le théâtre et la peste ». Et cela, ce « rien à voir » du corps en souffrance rend encore plus frappant le renversement selon lequel, dans la suite de la provocation du docteur Alain Colombié, médecin généraliste, posant nu avec un bandeau « Chair à canon » sur le bras, le collectif d’infirmières et infirmiers libéraux SOS soignants en danger s’est photographié « À poil contre le Covid-19 ». Ils réclament, comme le font médecins, soignants des hôpitaux, des Ehpad, et tous les travailleurs exposés, des masques, des surblouses, du gel désinfectant, etc. Ce sont eux qui témoignent, en leur corps dénudé, désarmé, pour toutes ces agonies frappées d’irréalité, car ils se savent au bord du même gouffre.
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